Prélude à l'amour (ré-édition)
Ton odeur, ton parfum, ton regard, tes mains,
Enthousiasment mon coeur, quand soudain,
Je sens le tien, si prêt, battre avec volupté
Comme si lui-même plongeait dans ce décolleté.
Je frissonne, je tremble à la douceur de tes seins
Que ton regard m’invite à devenir miens.
Ton corps si gracieux semble alors vouloir danser
Au rythme de nos coeurs endiablés fous à liés.
J’abandonne la lutte, ce combat si rude
Et perd toutes raisons de rester prude
Car je sais que maintenant tu vas laisser
Toute ta fougue t’envahir, et me donner
Tout ce troublant désir qui n’est qu’un prélude
A une nuit sans fin passer à nous aimer.