Rupture
Les semaines et les jours s’égrainent
Depuis que tu m’as dis sans haine
Que notre soleil devait plonger
Dans l’océan pour l’éternité
Je fuis depuis, ton esprit, ton corps
Qui se sont emparés de mon sort
Sans jamais me livrer à la mort
Car je sais bien que j’ai tort
Mais la vie finira par me livrer
Ses trésors comme ses secrets
Pour que je puisse me délivrer
De ses jardins qui m’ont enivré