Une ombre, un amour
A la lumière sombre de cette bougie
Git une ombre à peine assagie
Il croyait qu'elle dormait, quelle folie !
Elle était morte, là, allongée sur son lit
Aucune larme n'opérant sa douce magie
Elle est partie sans bruit du logis
Laissant derrière elle, sur l'établis
Le travail inachevé d'un rêve, un oubli.
La bougie s'éteint virevoltant doucement
Disparait alors l'écrin d'un amour qui ment
La nuit fait place au jour, au cauchemar
Alors, ce triste sort se joue, se marre
De le voir pleurer et sombrer lentement
Il ne l'oubliera jamais, cette ombre, ce phare
A un ami
Git une ombre à peine assagie
Il croyait qu'elle dormait, quelle folie !
Elle était morte, là, allongée sur son lit
Aucune larme n'opérant sa douce magie
Elle est partie sans bruit du logis
Laissant derrière elle, sur l'établis
Le travail inachevé d'un rêve, un oubli.
La bougie s'éteint virevoltant doucement
Disparait alors l'écrin d'un amour qui ment
La nuit fait place au jour, au cauchemar
Alors, ce triste sort se joue, se marre
De le voir pleurer et sombrer lentement
Il ne l'oubliera jamais, cette ombre, ce phare
A un ami