L'usurpateur aboulique
Tu siffles vieux serpents visqueux
Au rythme de tes inepties obséquieuses
Tes désirs d’hégémonie adipeuse
Où s’engouffre l’horizon hideux
Une fois la guerre finie, tu délivres
Ta basse morale lue dans les livres
Prophète d’un dieu dont tu t’enivres
Folle folie d’une impéritie ivre
Je dénonce ton attitude inique
Vilipendée en excuses cyniques
Un soit disant destin tragique
Toi l’usurpateur aboulique !